L’équipage

Équipage à demeure

Timonier du navire, en eaux calmes comme en eaux troubles, il pilote Le Labo. Travailleur social de formation initiale, il a exercé le métier d’éducateur de rue pendant une dizaine d’années. Après un parcours universitaire en développement social local puis en sciences sociales appliquées aux métiers des études et des enquêtes (Master SSAMEE, Université de Savoie), il anime depuis 2018 l’espace de recherche de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence des Savoie (L’Observatoire, puis Le Labo). Les questions d’actualisation des pratiques éducatives, de participation des personnes concernées, d’espaces et de territoires, sont au cœur de ses réflexions.

Notre Bosco, elle est à la manœuvre des opérations de mesure d’utilité sociale et amène des apports en psychologie sociale au sein du Labo. Elle pense et analyse les rapports de dominations. Psychologue sociale depuis 2018, elle fait le choix de débuter par le monde de l’éducation populaire. Elle a pu dans son parcours mettre au service cette science du comportement pour l’accompagnement de jeunes et de familles. Depuis 2022, elle réalise des ateliers de sensibilisations sur les discriminations, les influences et rapports de groupes.

Equipage associé

Gabière de grande hune, elle est de toutes les architectures pédagogiques.

Autrice de la formation « méthodologie de projet participative » qu’elle anime, elle forme aussi à l’outil « Faire-Société » et aux outils de la mallette CAPEJ qu’elle a contribué à construire.

Batelière, c’est elle que nous appelons lorsque nous devons naviguer dans nos eaux intérieures. Terrienne avant tout, elle n’a pas hésité à se hisser à bord pour nous accompagner.

Elle est formatrice de l’outil Faire-Société.

Maître-Coq, elle a rejoint l’aventure pour nous nourrir de ses expériences. Touche-à-tout, elle se faufile de la cambuse à l’entrepont d’un léger jeu de jambe.

Elle est formatrice de l’outil Faire-Société.

Compagnon de route du Labo, il est le lien indispensable entre cet espace et l’Association. Il nous apporte son expertise sur la difficile question de la communication qu’il conduit depuis la Capitainerie.

Aguerrie à toutes les tempêtes financières, capable de traduire les langages exotiques des contraintes budgétaires, elle est la précieuse alliée du Labo lorsqu’il faut « naviguer à vue ».

Postée sur la dunette, elle y voit les mots arriver de loin. L’équipage lui remet ce qu’il écrit de ses aventures, et elle corrige, agence, aère, pour que Le Labo laisse de belles traces dans son sillage.

Lorsque le brouillard administratif se lève, et que les récifs des projets internationaux menacent, elle est le phare qui nous permet de rentrer à bon port.

Elle est la cheville ouvrière qui a permis de vivre sereinement l’aventure européenne CAPEJ.